Concert Michael Bublé

Publié le par German

Le protégé de David Foster qui avait pris les amateurs de standards et de big bands par surprise, il y a deux ans, avec un album éponyme leur servant notamment des Fever, Moondance, Summerwind et Sway qui faisaient de lui un prometteur crooner à la Sinatra, vient de remettre ça, et pas à peu près, merci.

Si on n’a jamais douté que le jeune chanteur de Vancouver a de la voix, il est difficile de ne pas le constater dans son récent CD, It’s Time où le beau Michael sert un plateau faisant une cinquantaine de minutes (plus, si vous trouvez l’édition spéciale comprenant deux chansons supplémentaires, Dream a Little Dream et Mac the Knife). En ouverture, Bublé montre (trop ?) la puissance de ses cordes vocales dans Feeling Good et dans A Foggy Day (In London Town) de Gershwin, puis y va de ses talents de chanteur de pomme dans You Don’t Know Me et d’un étonnant Quando, Quando, Quando en duo avec Nelly Furtado où la voix de la charmante chanteuse pop-rock détonne quand même un peu. Quant à la relecture de Can’t Buy Me Love des Beatles, elle n’a pas fini de déchirer les fans tant de Bublé que des Fab Four...

Publié dans MUSIQUE

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